Oruro, que pour le carnaval.

Quand on vous disait que les parents nous avaient délesté de quelques bagages........  

Le genre de tags que l'on rencontre en Bolivie. Pro-EVO

Nous avions élu Oruro comme destination pensant pouvoir substituer le bus par le train, hors mauvaise surprise, le réseau ferroviaire que nous voulions emprunter n'est plus utilisé et nous devons, avec une immense déception tant pour les enfants que pour nous, continuer notre périple en bus.....et merde !

Oruro est surtout célèbre pour son carnaval, mais rappelez vous, nous l'avons passé à Puno.

Vue du mirador : la ville et l'altiplano.

Nous n'avons pas découvert la face cachée et agréable de cette ville par contre nous sommes ravis de n'avoir parcouru que 3H30 de bus depuis La Paz.

Sur la route en venant de La Paz.

Les rues sont envahies d'adolescentes sexy paraissant se préparer toute l'année au défilé du carnaval.
Elles arpentent les rues, le bâton de majorette à la main alors qu'il reste encore un an avant le prochain. Toute la ville parait ne vivre que pour cette date. Une rue entière est consacrée à la confection des costumes.

Une des boutiques....

Il n'y a aucune boutique d'artisanat si ce n'est, prêt de la gare ferroviaire, quelques stands qui vendent des instruments de musique traditionnaux.

Un des fameux masques du carnaval

Nous passerons tout de même 2 nuits afin de ne pas enchainer les transports qui sont devenus insupportables pour notre petite famille.
Par contre on a pas omis de visiter le marché local, comme d'hab.! :

Beaucoup de fruits !

Les bonnets des jeunes gens, de plus en plus particuliers.

Les mollets charnus des paysannes.

Après avoir étudié plusieurs possibilités, nous décidons de partir pour Potosi, le plus court chemin et d'emprunter un itinéraire peu commun pour la suite mais nous réfléchissons, maintenant en temps passé dans le bus.

Tout se vend sur les trottoirs au milieu des klaxons et des fumées d'échappement.

les jus de fruits

la teinture pour la laine de lama

trop de raisin tue le raisin !

Alors voilà, court article, pour vous dire d'une part que l'on est fatigué (et oui il faut bien se plaindre un peu !) et d'autre part que nous partons ce mardi 9 mars, tôt le matin en espérant que les enfants dorment une partie du voyage.

7h du mat, il n'y a pas que nous qui attendons les bus !

La prochaine fois ce sera plus aventurier.