mercredi 16 décembre 2009

Costa Rica, un zoo à ciel ouvert, part two

Voici la deuxième session animalière du Costa. Il fallait bien ça, vu la quantité de bestioles qui nous sont passés sous le nez. Enorme !! Nous sommes ravis de notre visite  dans ce pays et nous le conseillons vivement à tout le monde. On se régale en "chassant" l'animal, en "larvant" sur les belles plages du pacifique ou en observant la nature si généreuse.
Ici, humains et animaux sont sur le même pied d'égalité, les panneaux routiers impliquent tout le monde.

Nous avons presque vu tout ce que l'on voulait voir, malheureusement les grands fauves n'ont pas voulu se montrer !! Le tatoo a été vu par 2 fois mais nous n'avons pu l'immortaliser, on ne dirait pas mais c'est rapide cette petite carapace à 4 pattes.
Si le Toucan a refusé de se montrer à nous en chair et en os, nous avons pu l'admirer à travers l'inventivité des ticos (habitants du Costa) :

Et le tamanoir qui n'a toujours pas été aperçu vivant. Il n'est vraiment pas doué lui : on l'a rencontré à 4 reprises mais toujours écrasé. Les enfants commencent à maitriser les visions morbides.

Sur la cote pacifique, les visites colorés des aras macaos, et des échassiers :



Le paresseux à 2 doigts capable de ne pas bouger pendant au moins 24h

Et le paresseux à 3 doigts......un peu plus dynamique mais c'est pas non plus Usain Bolt


La preuve :

Ceux qui ont le plus fait rire les enfants : les singes, surtout les capucins qui venaient nous piquer les bananes à l'hotel. Leur agilité a épaté les gosses.....que dire de leurs grimaces et des cris du singe hurleur, les 2 essayent de le reproduire systématiquement à l'approche de la foret.
Nous avons eu de la chance de rencontrer les 3 espèces.
Petits voleurs agiles......
Le "parque Manuel Antonio" est, pour nous, incontournable (la famille Meriguet nous l'avait conseillé, nous sommes du même avis qu'eux). 2 raisons à cela : beaucoup d'animaux et la possibilité en faisant la ballade de profiter des plages paradisiaques et d'une eau à température quasi corporelle.



Oriole de Baltimore
Le "parque de los quetzales" nous a permis de retrouver cet oiseau majestueux, que beaucoup désespère de rencontrer, et d'apercevoir sa compagne. Cet oiseau symbole de liberté : il se laisse mourir dès qu'il se retrouve en cage !
Je ne t'ai pas oublié Ludi, ni ta soif de connaissance sur l'accouplement de l'iguane.......voici un petit documentaire, rien que pour toi !

Mister Sdud nous t'avons trouvé un essaim pour tes ruches, il est un peu haut mais il en vaut la peine pour démarrer.

Voilà le "Costa c'est fini", on ne fera pas une chanson, mais nous le quittons avec un petit pincement. Nous nous séparons aussi du 4X4 et il faut avouer que la facilité de déplacement qu'il nous offrait va nous manquer.........on s'habitue vite au luxe !!
Enfin, retour au voyage à la roots. Nos 4 sacs, nos diablitos, nos jambes et notre envie de découvrir le grand condor (et autres animaux bien-sur) pour se lancer sur les traces des cités d'or....................le but du voyage est au bout du vol San josé-Quito.

1 commentaire:

  1. Bouh !!
    Zak : "Il fait quuuuuuoi ??"
    (pause...)
    Kri : "...un bébé"
    ahah peu d'enfant apprennent tout ça grâce à des iguanes...sacré périple ! Merci pour le docu, je le posterai sur le site d'Arte pour leur reportages animaliers :)
    Grosses bises (ah et j'aime beaucoup l'oiseau de la Liberté !)

    RépondreSupprimer